Accompagnement SEO

5 raisons pour lesquelles je travaille (uniquement) avec les femmes

Tu le sais sans doute : j’ai décidé de travailler avec les femmes. Et de le ne faire qu’avec elles. Pourtant, je n’ai rien contre les hommes. C’est promis. Mais voilà, je me suis jamais vue faire autrement. C’est avant tout une histoire… D’histoire. De positionnement. De valeurs, et de mission. Et de création de liens. Dans cet article, je te donne les 5 raisons pour lesquelles je bosse uniquement avec des femmes. À la fin, je te parle d’un truc qui pourrait t’intéresser. Alors reste jusqu’au bout, ça peut en valoir le coup !

C’est une histoire dans une histoire (de femmes)

Quand je regarde d’où je viens, je ne vois pas comment j’aurais pu faire autrement. Parce qu’il y  un truc qui est clair est net : je suis une femme dans un milieu de femmes. J’ai grandi avec une mère puissante. J’ai été élevée par cette mère seule. Qui s’est battue contre l’hépatite C. Puis contre un cancer de l’utérus, maladie des femmes. Puis contre sa récidive. Combat perdu. 

Moi, j’ai vécu la PMA. À 26 ans j’étais un peu jeune pour devoir me piquer le ventre tous les soirs et (dés)espérer que ma fille vienne se nicher dans mon ventre. Mais je l’ai fait, je me suis battue. Combat gagné. Je repense aux salles d’attente blindées de femmes qui, comme moi, attendaient les résultats de leurs échos, de leurs prises de sang. J’ai compris à quel point on était toutes si fortes.

Et puis je l’ai eue. Ma fille. Encore une femme qui va prendre toute sa place dans ma vie. Donc autant te dire qu’il a fallu, à un moment donné, que je me rende à l’évidence : je dois aller vers ça. D’une manière ou d’une autre.

La plupart de mes clientes sont des mères

Cette « manière ou d’une autre », c’est le travail. Parce que vois-tu, je l’ai dans le sang. Je pourrais me piquer mes créations de contenus en intraveineuse. J’aime trop écrire. Je suis obsédée à l’idée de créer tous les jours. Et par celle de le faire pour les femmes. Et plus encore : les mères. 

Parce que voilà, quand tu deviens mère, et que t’as en plus un business à gérer, c’est chaud. T’as de la charge mentale au quintuple. Et ça, c’est un truc que j’ai appris à mes dépends en lançant mon entreprise. Ma plus grosse frustration ? Que les journées ne durent que 24h. Pourtant, je remercie mes enfants d’être là le matin, le soir, et le weekend. Autrement, je passerais ma vie à bosser, et le burnout viendrait rapidement toquer à la porte de mon corps. 

Si mes clientes viennent vers moi, ou que je les démarche, c’est justement parce qu’on se connecte à 100 % là-dessus. On aime nos enfants, mais girl : on aime grave notre boulot. No shame. C’est parce que je les comprends que je suis capable de les accompagner.

Une mère et sa fille dans les bras

Les femmes ont leur place à prendre et je veux les y aider

Troisième point : je pense que t’es au courant, mais y’a comme qui dirait un petit problème patriarcal dans le monde du travail actuel. Selon la BPI, 14% seulement des dirigeant·es d’entreprise en France sont des femmes. Le chiffre baisse à 3,5 % pour les sociétés de plus de 1000 salarié·es. Oui, je sais. Ça fait mal. 

Alors je vais pas réinventer la roue. Mais ce que je veux, c’est apporter ma pierre à l’édifice d’une société plus équitable. Et ce, en aidant les femmes à faire briller leur projet sur le web. Les faire gagner en visibilité grâce à l’impact des mots. Et donc, of course, leur rapporter des client·es. 

Eh oui : en boostant le SEO de leur site, elles deviennent visibles sur Google. Elles passent devant la concurrence. Elles prennent la place qu’elles méritent. Et génèrent le CA qui va avec. 

En publiant des posts percutants sur LinkedIn, elles inspirent leurs lecteur·ices. Elles deviennent leadeuses d’opinion. Elles créent de la confiance. Et aimantent des clients. Donc boostent leur chiffre d’affaires. 

Bref, elles deviennent puissantes, juste par la force de l’écriture, et la mise en place d’une bonne stratégie de contenus. J’appelle ça l’empouvoirement digital, et ça me plaît bien. 

D’ailleurs, j’ai récemment interviewé Claire Campi, DA et graphiste dans le parfum. Son processus de création est passionnant !

Travailler avec les femmes, c’est mon positionnement

Tu l’auras compris, le fait de travailler uniquement avec les femmes entrepreneuses, c’est une question de mission, de valeurs, mais aussi de positionnement. Eh oui, parce que pour se démarquer, tu dois le savoir : il faut se positionner. Et le mien a été clair dès le départ. Je n’ai pas l’intention de travailler avec les hommes. Vraiment, je n’ai rien contre l’idée, et je suis pas fâchée contre eux (au cas où il fallait le préciser). Mais ma marque de fabrique, c’est mon féminisme, mon engagement. Et donc, mon positionnement. La tonalité de ma communication. Mes posts LinkedIn portent toujours sur les sujets de la maternité et de son imbrication dans le monde du travail. 

Parce que vouloir travailler avec « les femmes » ne suffit pas à se démarquer. C’est trop large. Quand même 50 % de la population, faut dire. Quelles personnalités ? Quel genre d’entrepreneuses ? Quel type de projet ? Tous ces questionnements sont très importants quand on crée son offre. Je rencontre souvent des freelances qui galèrent à trouver des clients. La plupart du temps, c’est parce qu’elles ne sont pas positionnées. Parce qu’elles ont peur d’exclure une partie de la population en communiquant pour l’autre. Mais tu sais, il y a un vieil adage en marketing digital qui dit qu’à force de vouloir parler à tout le monde, tu ne parles à personne. 

Moi je parle aux femmes entrepreneuses, mères pour la plupart, qui ont des agendas surchargés. Et qui ont besoin d’alléger leur charge mentale en me confiant leur SEO ou la rédaction de leurs posts LinkedIn. Period.

Jeune femme dans la rue

Créer du lien avec ces femmes est plus facile

Un dernier point hyper important pour moi : je travaille uniquement en individuel. Dans mes accompagnements, bien sûr, j’adore découvrir des projets intéressants, engagés, qui m’inspirent. Mais aussi, et surtout : j’aime tellement créer du lien avec mes clientes. Un rapport de proximité. Qu’elles se sentent en confiance avec moi. C’est l’un de mes éléments différenciants, et que je cultive avec force. 

Je ne parle pas de sororité à outrance (coucou l’argument marketing bullshit). Juste : d’un feeling. Il faut que le feeling passe. J’ai déjà refusé des projets parce qu’à l’appel découverte, sans trop savoir pourquoi, ben c’est pas passé. Pour elle(s), comme pour moi. C’est pas grave, c’est comme ça. Mais quand j’accompagne mes clientes, c’est minimum pour 3 mois en ghostwriting. 6 mois en SEO. Alors faut que ça matche, comme sur Tinder (j’ai le droit de faire cette réf ?). Sinon, c’est pénible pour tout le monde. 

Et cette connexion là, cette proximité, je ne peux pas la créer avec un homme. Pas aussi naturellement, en tout cas. Donc les femmes. Tout pour elles, rien que pour elles.

Pssst ! Je t’ai déjà raconté comment je me suis reconvertie pendant ma 2e grossesse ?

En bref, j’ai décidé de travailler uniquement avec les femmes parce que tout me pousse à le faire. Mon histoire, mes valeurs, ma mission pro. Mon positionnement, ma façon de communiquer. C’est un choix assumé, que je porte avec fierté. Et que je suis pas prête de lâcher 😎

D’ailleurs, avec Natacha Zeh, la fondatrice de Metabox, on a envie d’aider les femmes à faire du bruit sur le Net. Alors on lance Tapageuses Digitales. Kesako ? Un accompagnement de 6 semaines pour les femmes entrepreneuses qui veulent apprendre à maîtriser les fondamentaux du marketing. De la théorie, de la pratique, du coaching, et de l’entraide. What else, comme dirait George ?

Le top départ c’est le 14 mai. 

T’as envie d’en savoir plus ? C’est par ici -> Tapageuses digitales <-

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