Vous vous demandez combien de mots pour un article SEO il faut écrire ? Bonne question — mais mauvaise approche 🙂
C’est vrai que quand on souhaite se lancer dans la rédaction SEO (ou qu’on veut sérieusement améliorer sa visibilité), c’est typiquement le genre d’interrogation qui surgit très vite. Faut-il viser 800, 1200 ou 3000 mots pour espérer atteindre les premières places de la SERP (= page de résultats) ? Est-ce qu’un texte long est forcément plus conséquent ? Et au fond, est-ce que la longueur influence vraiment le référencement naturel ?
👉 Si ce sujet vous prend la tête, vous êtes au bon endroit.
Dans cet article, on va déconstruire quelques idées reçues, s’appuyer sur des données marketing concrètes (promis, pas de bullshit). Et surtout : vous donner une grille de lecture simple pour adapter la longueur de vos contenus en fonction de vos objectifs, de vos pages et des intentions de recherche de vos lecteurs.
Alors, combien de mots pour un article SEO ? Voici un guide utile pour celle (ou celui) qui veut rédiger moins, mais mieux — et souhaite obtenir des résultats concrets avec son contenu éditorial. Bonne lecture !
Pourquoi le nombre de mots peut influencer votre SEO (mais pas comme vous le pensez)
Quand on me parle de SEO, s’il y a bien une question qui revient systématiquement… C’est celle du nombre de mots. Est-ce qu’un contenu plus long est mieux référencé par Google ? Existe-t-il une taille idéale pour un article de blog ? Faut-il viser un minimum de mots pour espérer atteindre la première page ? On pourrait croire qu’il suffit d’ajouter des paragraphes pour optimiser son référencement SEO, mais la réalité est un peu plus nuancée.
Alors, avant de se lancer à corps perdu dans la rédaction d’un contenu de 1 200, 2 000 ou 3 000 mots, encore faut-il comprendre ce que Google valorise vraiment !
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Longueur pour un article seo : plus c’est long mieux c’est ?
Pas de doute quand on lit les données récoltées par Backlinko, Semrush ou encore Ahrefs : les articles les mieux positionnés sur Google font en moyenne entre 1 200 et 2 000 mots. Dans certaines analyses, le chiffre monte même à 2 450 mots pour les articles en top 1.
Bref, autrement dit, plus le texte est long, plus il a de chances de :
- contenir les bons mots-clés ;
- couvrir un champ sémantique riche ;
- capter différentes intentions de recherche.
Ce volume permet aussi d’intégrer naturellement des éléments importants comme :
- le maillage interne ;
- des backlinks entrants ;
- des images optimisées (balise alt, nom de fichier, etc.) ;
- une structure éditoriale hyper claire.
Pour autant, attention ! Car la longueur ne garantit pas la qualité.
Ce que je veux dire par là ? C’est qu’il y a corrélation, mais pas forcément causalité. Autrement dit, ce n’est pas parce que vous rédigez un pavé de 3 000 mots que votre site web sera mieux positionné. Un texte SEO performant, c’est d’abord une affaire :
- de pertinence ;
- de valeur ajoutée ,
- et de qualité du contenu.
Ce que Google prend vraiment en compte (au-delà de la longueur)
Parce que gardez en tête ceci : moteurs de recherche = moteur de réponse, pas moteur de mots. L’algorithme de Google cherche à identifier les pages qui répondent de manière complète, fiable et structurée à une requête donnée. Donc, si vous atteignez cet objectif en 800 mots, parfait, well done ! S’il vous faut 2 000 mots, soit. Ce qui compte, c’est de servir l’intention de recherche de l’internaute.
Je vous liste rapidos les éléments qui influencent réellement le référencement :
- L’intention : votre article répond-il précisément à la question posée ?
- La structure : utilisez-vous des titres clairs, une mise en page aérée, un maillage interne pertinent ?
- L’UX (expérience utilisateur) : le texte est-il lisible ? Scannable ? Adapté à la lecture web ?
- Le contenu : est-il unique, informatif, fiable ? Apporte-t-il une valeur ajoutée dans le secteur traité ?
- Les mots-clés secondaires : votre texte explore-t-il le champ lexical autour de votre mot-clé principal ?
- La popularité : votre article reçoit-il des liens entrants ? Est-il partagé sur les réseaux sociaux ?
- Les signaux techniques : temps de chargement, compatibilité mobile, balises méta (title, description)…
Un article trop long peut desservir votre SEO
Allons même plus loin dans notre analyse. Voilà le grand paradoxe : plus c’est long, plus c’est risqué si c’est mal exécuté. Je suis sûre que vous vous êtes déjà ennuyé à mourir devant un article qui n’en finissait pas ? Eh oui, un article à rallonge peut :
- diluer l’information ;
- perdre l’attention du lecteur ;
- générer un taux de rebond élevé ;
- et donc avoir un impact sur le référencement web – en mal.
Que croyez-vous ? Google n’est pas dupe ! Et il repère facilement les textes qui tournent en rond, répètent les mêmes idées ou enrobent des phrases sans rien dire. Du coup, aucune chance qu’il classe bien ou qu’il partage ce type de contenu inutile. En gros, si vous devez faire long, faites-le pour de bonnes raisons :
- explorer un sujet complexe ou méconnu ;
- répondre à plusieurs sous-questions dans un guide aux petits oignons ;
- travailler un contenu de fond, à fort potentiel SEO et longue traîne.
Sinon ? Faites simple, faites clair, faites efficace. Car le nombre de mots influence le référencement, mais ce n’est pas un objectif en soi. Ce n’est qu’un moyen de mieux traiter une intention — pas une fin. Vous pouvez toujours vous demander combien de mots pour un article SEO il faut, mais… Ce que Google veut, ce sont des contenus utiles, lisibles, complets. Pas des articles encyclopédiques sans structure ni cap.
Cet article peut aussi vous intéresser : Comment écrire un article SEO ?
Combien de mots pour un article SEO ? La longueur idéale selon le type de contenu et l’intention
Vous voulez savoir combien de mots pour un article SEO il vous faut rédiger ? Eh bien, ça dépend. Oui, je sais : réponse frustrante 😂 Mais dans la famille « techniques de rédaction SEO », la meilleure longueur n’est jamais universelle. Elle dépend toujours de deux choses : le type de texte et l’intention de recherche de l’internaute.
Donc, pas besoin de produire un pavé de 3000 mots pour chaque contenu optimisé. À l’inverse, certains contenus trop courts n’atteindront jamais les résultats de recherche. L’important, c’est d’écrire juste ce qu’il faut pour traiter le sujet… ni plus, ni moins !
Longueurs recommandées par type de page de destination
Vous le savez peut-être : chaque type de page web possède une fonction éditoriale précise. Et c’est cette fonction – informer, convaincre, vendre – qui doit guider le nombre de mots idéal. On ne rédige pas une fiche produit comme un livre blanc, ni un article de blog comme une page « À propos ». Je vous ai préparé un petit tableau récap pour résumer tout ça :
Type de contenu | Objectif principal | Longueur recommandée |
---|---|---|
Fiche produit | Conversion rapide | 200 à 400 mots |
Page de service | Convaincre, rassurer | 600 à 900 mots |
Article de blog | Informer, se positionner, capter du trafic | 1000 à 2000 mots |
Page pilier | Gagner en autorité SEO, structurer un cocon | 2000 à 3000+ mots |
Page À propos | Créer du lien, humaniser | 400 à 700 mots |
Livre blanc | Générer des leads via la valeur ajoutée | 5000 mots minimum |
Mon conseil : ce sont des ordres de grandeur à adapter selon votre secteur, votre lectorat et votre niveau d’expertise. Un contenu informatif immobilier ne nécessitera pas le même volume qu’un tutoriel WordPress, par exemple.
Retenez donc que produire un contenu de qualité, c’est aussi respecter le temps de votre utilisateur. L’effet inverse serait ainsi contre-productif 🙂
Adapter la longueur à l’intention de recherche Google
C’est le critère SEO le plus négligé… alors qu’il devrait être le premier sur votre checklist. Pourquoi ? Parce que l’intention de recherche détermine le besoin de l’internaute. Et donc, ce que votre texte doit contenir pour y répondre.
Ainsi, pour déterminer combien de mots pour un article SEO il faut, il existe trois grandes intentions, faciles à retenir :
- Informationnelle → l’internaute cherche une réponse, une explication, une méthode.
👉 Exemple : « comment améliorer la lisibilité d’un texte ». Ici, je vous préconise de créer un contenu structuré, avec des exemples et une réelle valeur ajoutée. Minimum 1200 mots.
- Transactionnelle → il veut acheter, réserver, s’inscrire.
👉 Exemple : « formation SEO à distance ». Là, on va à l’essentiel : promesse, bénéfices, éléments de réassurance. 500 à 800 mots suffisent souvent.
- Navigationnelle → il cherche une marque, un outil, un site.
👉 Exemple : “Notion SEO template”. Ici, pas besoin de rédiger un roman. Une page claire, bien hiérarchisée, qui propose de bons liens et un bon title, voilà qui fera le job.
Combien de mots pour un article SEO : cas pratiques avec 1 sujet, 3 longueurs différentes
Ça vous dit, une petite preuve par l’exemple ? Allez, let’s go. Prenons le sujet suivant : « sac à dos de randonnée 40L ».
Loïc cherche un avis avant achat. Il tape : « avis sac à dos 40L Décathlon ».
👉 Article comparatif de 1200 mots. Objectif : informer, structurer, positionner. Vous pouvez y intégrer plusieurs mots-clés secondaires (confort, capacité, prix…).
Mélissa prépare un trek au Népal. Elle tape : « comment choisir un sac à dos de randonnée ».
👉 Ici, on part sur un guide long de 2000 à 2500 mots maximum. Objectif : traiter le sujet en profondeur, améliorer le référencement naturel avec du contenu pertinent et un bon maillage interne.
Léa veut juste acheter. Elle tape : « acheter sac à dos randonnée 40L ».
👉 Vous créez une fiche produit courte mais bien optimisée : balise title efficace, description claire, visuels bien nommés, et quelques FAQ. 300 mots suffisent.
Même sujet, trois intentions, trois formats de contenu, trois longueurs ☝🏻
Combien de mots-clés peut-on cibler dans un article ?
Plus votre article est long, plus vous pouvez y glisser naturellement des mots-clés secondaires et enrichir le champ sémantique. Mais attention : ce n’est pas une autorisation à faire du bourrage de mots pour autant ! Ce que Google attend, c’est un contenu structuré, utile, et bien positionné sur l’intention.
Un bon article SEO doit toujours se positionner sur une seule requête principale. Et éventuellement, plusieurs requêtes secondaires. Si, of course, votre structure Hn est bien pensée, que vous répondez aux bonnes questions et que votre contenu reste au top niveau optimisation pour les moteurs de recherche.
(Mon petit bonus : je vous conseille d’intégrer une FAQ en bas de page. C’est une excellente manière d’enrichir sans le rallonger artificiellement !)
Bref, pour déterminer combien de mots pour un article SEO, la bonne longueur dépend :
- de l’objectif de votre contenu (informer, convertir, créer un lien) ;
- de l’intention de recherche de votre internaute ;
- et du type de page web.
Surtout, il n’existe pas un chiffre magique ! Mais une stratégie à construire pour chaque thématique.
Et si vous hésitez entre écrire un article long ou publier plus souvent, rappelez-vous ceci : ce qui prime, c’est la pertinence et la valeur ajoutée. Pas la quantité.
Comment écrire (juste) ce qu’il faut dans son contenu SEO : ni trop, ni pas assez
Une fois qu’on a compris que combien de mots pour un article SEO il faut en fonction du type de contenu et de l’intention de recherche, reste un point important à traiter : comment atteindre le bon volume sans broder ? Parce qu’on ne va pas se mentir : un contenu à rallonge qui ne dit rien, ça n’apporte ni trafic, ni positionnement, ni conversion. Ni résultat.
Donc, l’idée, c’est de rédiger un article utile et bien structuré, avec juste ce qu’il faut pour répondre à l’attente de l’internaute… et rien de plus. Facile à dire – mais est-ce facile à faire ? Réponse juste en-dessous !
Comment enrichir naturellement un article optimisé SEO ?
Si vous voulez obtenir un contenu SEO optimisé canon sans tomber dans la surcharge, un conseil : misez sur les bons ingrédients. Voici une petite sélection d’éléments à intégrer dans votre texte. Non pas pour faire joli, mais pour vraiment servir la compréhension de votre lecteur :
- Une structure claire un titre, une description, des H2 et H3 bien pensés : c’est la base (et Google adore ça).
- Des exemples concrets, pour illustrer vos propos sans blabla.
- Une partie FAQ ciblée, pour traiter les questions fréquentes autour de votre thématique.
- Des images optimisées (nom de fichier, balise alt), pour renforcer l’expérience utilisateur.
- Des liens internes vers d’autres pages pertinentes de votre site (maillage stratégique = bonus SEO).
- Des encadrés « à retenir » ou « bon à savoir », qui facilitent la lecture et la mémorisation.
Tout ça contribue à produire un contenu de qualité : structuré, lisible, orienté utilisateur. et qui coche les cases attendues par les moteurs de recherche.
📌 Pro tip : si vous sentez que vous rabâchez ou que vous écrivez « juste pour faire long », c’est le signal d’alerte. Soit vous resserrez votre plan, soit vous n’avez pas encore bien défini le besoin utilisateur. Dans les deux cas, ça se règle en amont.
Combien de mots pour un article SEO : utiliser ses propres données pour guider la longueur du contenu
Et si, pour savoir combien de mots pour un article SEO il vous faut, vous vous appuyiez… sur vos les résultats de vos propres contenus ? 🤓
En matière de référencement naturel, l’un des meilleurs moyens de savoir si la longueur de vos articles est pertinente, c’est d’aller regarder vos statistiques. Parce que la meilleure source d’information, ce n’est pas une étude sortie d’un blog SEO américain. C’est votre site internet.Voici donc ce que je vous conseille d’analyser :
- Le temps passé sur la page : un article long, mais lu intégralement ? Bingo.
- Le taux de rebond : si votre contenu est trop long (ou mal ciblé), vos visiteurs risquent de quitter la page sans interagir.
- Le nombre de requêtes positionnées (dans la Search Console) : certains articles courts peuvent se positionner sur 1 ou 2 mots-clés, mais les plus riches couvrent souvent un champ sémantique plus large.
- Le CTR (taux de clic) : votre title est bon, mais l’article déçoit ? Peut-être qu’il ne répond pas assez précisément à l’intention de recherche.
En analysant ces statistiques, vous pourrez repérer :
- quels contenus gagneraient à être enrichis ;
- lesquels pourraient être fusionnés ;
- et ceux qu’il vaut mieux raccourcir ou réécrire pour coller davantage à l’intention.
Ma petite astuce : pas besoin d’être un expert GA4 pour obtenir des résultats. Un petit combo Search Console + tableau Notion peut suffire à dégager des tendances, par exemple. Et vous évite de publier « à l’aveugle », sans lien avec la performance éditoriale réelle.
Si vous avez lu jusqu’ici, bravo. Vous êtes désormais mieux armé·e que 95 % des gens qui tapent « combien de mots pour un article SEO ? » sur Google 🙂
Alors, combien de mots pour un article SEO ? Si on devait résumer en 3 infos importantes :
- Il n’y a pas de nombre de mots idéal pour un article SEO, seulement des longueurs pertinentes selon le type de contenu et l’intention de recherche.
- Google ne cherche uniquement pas des textes longs : il veut des contenus structurés, utiles et orientés utilisateur.
- La meilleure façon d’avancer ? C’est d’observer vos résultats actuels, tester différents formats… et ajuster en fonction.
Et si vous ne savez pas par où commencer, si vous avez du mal à structurer vos contenus, à choisir les bons mots-clés ou à transformer vos articles en boosts de visibilité… Mon coaching SEO Summer Camp est là pour ça.
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