Comment écrire un article SEO ? Guide complet en 7 étapes

Vous écrivez des articles, mais Google ne vous place pas en première page ? Vous avez suivi toutes les « règles SEO » et pourtant… Votre contenu n’attire pas de trafic sur votre site internet ? La réalité, c’est que rédiger un article SEO optimisé ne se résume pas à quelques mots-clés bien placés, à la longueur du texte ou à une meta description accrocheuse. 

Un article optimisé, c’est un contenu unique, structuré, pertinent. Mais surtout, un texte pensé autant pour les moteurs de recherche que pour l’internaute. Qui doit répondre aux attentes de Google et capter l’attention du lecteur dès le premier paragraphe.

Dans ce guide pratique, vous découvrirez comment :
✅ Optimiser votre title, vos balises et votre maillage interne pour booster votre positionnement sur internet.
✅ Travailler votre champ sémantique et éviter le surdosage de mots-clés.
✅ Structurer votre article SEO avec une introduction percutante, des listes bien organisées et des paragraphes lisibles.
✅ Rajouter des images, des liens et des formats enrichis pour améliorer votre taux de clics.

Alors, comment écrire un article SEO qui cartonne ? Suivez-moi, ça devrait vous intéresser !

Table des matières

Comment écrire un article SEO ? La méthode qui performe

Ok, c’est parti ! Tout d’abord, sachez que l’optimisation SEO d’un article repose sur des principes fondamentaux qui influencent son classement sur Google. On les regroupe toujours en trois grands piliers, qui, lorsqu’ils sont bien maîtrisés, permettent d’écrire un contenu méga performant. Je vous les présente.

Les 3 piliers fondamentaux du SEO en rédaction web

1. Le SEO technique : la base invisible, mais essentielle

Le SEO technique englobe toutes les optimisations qui facilitent l’exploration et l’indexation d’un article par les moteurs de recherche. En gros, retenez qu’un site bien structuré améliore l’expérience utilisateur et augmente ses chances d’être bien classé. Parmi les éléments les plus importants, vous trouverez :

  • La vitesse de chargement : un site rapide réduit le taux de rebond et booste le SEO.
  • L’indexabilité : les pages sont bien accessibles aux robots de Google via le fichier robots.txt et le sitemap XML.
  • L’optimisation mobile (ou Mobile First) : Google privilégie les sites responsive qui s’adaptent à tous les écrans.


📌 Mon outil préféré : Google PageSpeed Insights pour mesurer la vitesse de chargement.

2. Le SEO on-page : structure et pertinence du contenu de qualité

Le SEO on-page, c’est tout ce qui est visible sur la page et directement lié à l’expérience utilisateur et au référencement. Il est associé à :

  • Une structure claire (balisage H1-H6, paragraphes courts, listes à puces).
  • L’optimisation sémantique : on va traiter un champ lexical riche pour répondre aux attentes de Google.
  • Le maillage interne : on ajoute des liens entre les articles pour renforcer leur importance et guider l’utilisateur.

Le SEO reste encore un mystère pour vous ? Mon article C’est quoi le SEO devrait éclairer votre lanterne !

3. Le SEO off-page : renforcer l’autorité du contenu

Dernier pilier : l’autorité d’un site repose aussi sur les signaux externes. Notamment :

  • Le netlinking : c’est quand on obtient des liens entrants (= backlinks) de sites pertinents pour améliorer son autorité.
  • Le partage social : un article qui génère de l’engagement sur les réseaux sociaux peut indirectement améliorer son SEO.
  • Les mentions de marque (brand authority) sur d’autres sites influents.
Les 3 piliers du SEO selon Belacom

Pourquoi l’intention de recherche est si importante ? 

Les 4 types d’intentions de recherche

Allons plus loin encore, dans le détail. Il faut savoir que Google classe les requêtes en quatre grandes intentions :

  1. Intention informative : l’utilisateur cherche une information (ex : « Qu’est-ce qu’un article SEO ? »)
  2. Intention navigationnelle : l’utilisateur veut accéder à un site précis (ex : « SEMrush blog SEO »)
  3. Intention commerciale : Llutilisateur compare des solutions/services avant un achat (ex : « Meilleur outil SEO 2024 »)
  4. Intention transactionnelle : l’utilisateur est prêt à acheter (ex : « Acheter abonnement SEMrush »)
Les 4 intentions de recherche selon Similarweb

Comment écrire un article SEO ? En l’adaptant à l’intention de recherche

Du coup, forcément, une bonne optimisation de contenu repose d’abord sur la bonne compréhension de l’intention de recherche. Or, pour chaque type, l’approche varie :

  • Pour une requête informative : privilégiez un article de blog détaillé, avec des définitions et des exemples.
  • Pour une requête navigationnelle : proposez un contenu clairement structuré et optimisé pour la marque cible.
  • Pour une requête commerciale : utilisez des comparatifs, des études de cas et des avis d’experts.
  • Pour une requête transactionnelle : insérez des CTA clairs et des pages produits bien optimisées.

✅ L’outil à tester : la Google Search Console pour analyser les requêtes qui vont attirer la bonne audience sur vos articles !

Bref, l’intention de recherche c’est vraiment un truc indispensable en SEO. Voyez-la comme une boussole qui oriente la structure et le ton de votre article. Si votre contenu est bien aligné avec l’intention de votre audience, il aura plus de chances de bien se positionner sur Google.

Points principaux à retenir :

✅ Le SEO repose sur trois piliers : technique, on-page et off-page.
✅ L’intention de recherche influence la structure d’un article et son format.
✅ L’optimisation doit être pensée à la fois pour l’utilisateur et Google.

Trouver et optimiser les bons mots-clés

Ah, la recherche de mots clés ! Vous en avez déjà entendu parler ? Logique, ils sont au cœur d’une stratégie de rédaction SEO efficace. Or, ça va être très important de bien les choisir. Et de bien les structurer. Car, ça va permettre d’améliorer la visibilité de votre article sur les moteurs de recherche et d’attirer du trafic et une audience de qualité sur votre site web. Besoin d’explications ? C’est parti !

Écrire un article SEO : comment choisir les bons mots-clés ?

Comprendre la typologie des mots-clés

Quand on rédige un article SEO, c’est super important de travailler différents types de mots-clés pour booster ses chances de bien se référencer :

  1. Le mot clé principal : c’est le terme central qui définit le sujet de l’article. Ex : « écrire un article SEO ».
  2. Les mots-clés secondaires : ce sont des variations ou synonymes du mot-clé principal qui permettent d’élargir le champ sémantique. Ex : « rédaction optimisée », « rédiger un article pour Google ».
  3. Les mots-clés de longue traîne : ce sont des requêtes plus spécifiques et souvent moins concurrentielles, car moins de volume de recherche. Ex : « comment structurer un article pour améliorer son SEO ».

✅ Ma petite astuce : plus un mot-clé est spécifique, plus il attire un trafic qualifié.

Éviter la cannibalisation des mots-clés

Attention à la cannibalisation SEO ! Celle-ci se produit lorsqu’un même site web possède plusieurs pages sur une requête-clé identique. Elles se retrouvent alors en concurrence entre elles sur Google. Pour l’éviter :

  • Évitez de cibler le même mot-clé principal sur plusieurs articles.
  • Utilisez un plan de rédaction structuré pour différencier les angles de chaque contenu.
  • Pensez à utiliser le maillage interne pour répartir l’autorité entre vos articles.

✅ Mes outils préférés :

  • Ubersuggest : analyse de la difficulté des mots-clés.
  • Ahrefs : recherche et suivi des mots-clés ciblés.
  • Google Search Console : détection des différentes pages cannibalisées sur votre site.

Structurer un cocon sémantique pour booster son SEO

C’est quoi, un cocon sémantique ?

Le cocon sémantique est une technique de structuration de contenu qui consiste à organiser les articles d’un site en fonction de silos thématiques interconnectés. L’objectif ? Renforcer la pertinence de votre thématique aux yeux de Google et améliorer votre maillage interne.

En gros, y’a trois niveaux du cocon sémantique :

  1. La page pilier (ou mère) : elle cible un mot-clé principal et offre une vue d’ensemble du sujet.
  2. Les pages intermédiaires : elles approfondissent des sous-thématiques liées au sujet principal.
  3. Les pages enfants : elles traitent des aspects très précis et renvoient vers les pages intermédiaires.
Exemple de cocon sémantique selon Eskimoz

Connecter intelligemment les contenus

Un bon cocon sémantique repose sur un maillage interne efficace qui respecte la hiérarchie des pages et optimise l’expérience utilisateur. Je vous donne quelques bonnes pratiques pour pouvoir le créer :

  • Lier les pages enfants entre elles pour renforcer la cohésion de votre rédaction de contenu.
  • Ne pas surcharger les liens : un excès de liens internes est une critère qui peut nuire à la lisibilité.
  • Utiliser des ancres textuelles naturelles qui incluent des mots-clés secondaires.

Points clés à retenir :

✅ Travailler plusieurs niveaux de mots-clés (principal, secondaires, longue traîne) pour toucher un large spectre de requêtes (et d’internautes).
✅ Éviter la cannibalisation des mots-clés en différenciant chaque contenu.
✅ Proposer des articles sous forme de cocon sémantique pour rajouter de l’impact à son SEO.

Structurer un article SEO pour Google (et les lecteurs !)

Spoiler alert : vous devez absolument travailler la structure de votre article SEO. Pour 2 raisons : vous améliorerez l’expérience utilisateur. Et vous faciliterez l’indexation par les moteurs de recherche. Pour ce faire : votre contenu doit être hyper bien organisé. Voici comment faire.

Construire une structure lisible et optimisée

L’importance du balisage H1-H4 pour le référencement

Vous en aviez déjà entendu parler ? Google adore utiliser les balises HTML (H1, H2, H3, H4…) pour comprendre la hiérarchie d’un contenu et en extraire les informations les plus importantes. En gros, une structure bien pensée permet de :

  • Faciliter la lecture et la compréhension de l’article.
  • Aider Google à analyser la pertinence du contenu par rapport aux requêtes des internautes.
  • Optimiser l’accessibilité et l’expérience utilisateur.

Laissez-moi vous partager mes bonnes pratiques de balisage SEO :

✅ Un seul H1 : il doit contenir le mot-clé principal et refléter le sujet de l’article
✅ H2 pour les grandes sections : chaque H2 doit structurer les idées principales.
✅ H3 et H4 pour détailler les sous-thèmes : elles permettent d’organiser le contenu en profondeur.
✅ Utilisation des mots-clés secondaires dans les sous-titres : Google les considère comme des signaux de pertinence.

Structuration UX : fluidifier la lecture pour renforcer l’engagement

Mais attention : un bon article SEO ne se contente pas d’être optimisé pour Google ! Eh oui, on l’oublie souvent, mais… Il doit aussi être agréable à lire pour les humains.

Allez, hop, quelques principes UX essentiels :

  • Des paragraphes courts (2-3 lignes max) pour éviter les pavés de texte.
  • Des listes à puces et des tableaux pour structurer les informations.
  • Des images, exemples, infographies et schémas pour illustrer les idées.
  • Des CTA clairs et visibles pour guider le lecteur vers une action (téléchargement, contact, achat).

Rédiger des titres et une métadescription accrocheurs

Optimisation du titre SEO (balise Title)

La balise title est l’un des facteurs SEO les plus importants. Sa mission : inciter au clic tout en incluant le mot-clé principal. Pas simple !

Je vous partage mes bonnes pratiques pour un title efficace :

✅ Inclure le mot-clé principal en début de titre pour un meilleur référencement.
✅ Ne pas dépasser 60 caractères pour éviter qu’elle soit tronquée sur Google.
✅ Créer un titre copywrités avec des éléments incitatifs (« Guide ultime », « Les X meilleures astuces »)
✅ Éviter les titres génériques et privilégier des formules engageantes.

📌 Mon outil préféré : un simulateur de SERP pour prévisualiser son title.

Rédiger une méta-description qui booste le taux de clics (CTR)

Tout aussi importante, mais souvent négligée : la méta-description. Celle-ci n’influence pas directement le référencement, mais elle joue un rôle de start dans l’optimisation du taux de clics. C’est un élément essentiel à ne suuuurtout pas négliger si vous voulez inciter les internautes à choisir votre contenu plutôt que celui des concurrents.

Et hop, mes bonnes pratiques pour une méta-description percutante :

150-160 caractères maximum pour éviter qu’elle soit tronquée.
Phrase claire et engageante : doit donner envie de lire l’article.
Intégration du mot-clé principal pour le faire ressortir en gras sur Google.
Utilisation d’un appel à l’action (CTA) : « Découvrez nos astuces », « Téléchargez notre guide », « Apprenez à… »

Et voici des exemples pour que vous compreniez bien la mécanique :

❌ Mauvaise méta-description : « Rédiger un article SEO est important. Découvrez pourquoi en lisant cet article. »
✅ Bonne méta-description : « Apprenez à rédiger un article SEO optimisé avec nos 10 conseils pratiques pour booster votre visibilité sur Google. »

Points clés à retenir :

✅ Un balisage H1-H4 clair permet à Google d’indexer la page web plus facilement et améliore la lisibilité.
✅ L’UX est super importante : mise en page aérée, visuels, listes à puces.
✅ Une title optimisée + une méta-description engageante = un meilleur taux de clics (CTR).

Rédiger un contenu engageant et optimisé pour le SEO

Un bon article SEO ne doit pas seulement être optimisé pour les moteurs de recherche. Il doit aussi offrir une expérience agréable aux lecteurs ! Donc, si votre contenu est engageant, vous réduirez votre taux de rebond. Vous améliorerez le temps passé sur la page. Et vous favorisez le partage de votre contenu. Je vous en dis un peu plus sur le sujet.

La question de la lisibilité et de l’UX en SEO

Pourquoi la lisibilité influence le référencement ?

Google ne lit pas les articles comme un humain. Néanmoins, il analyse des signaux d’expérience utilisateur (UX) qui indiquent si un contenu est agréable à consulter :

  • Temps passé sur la page : plus un internaute reste longtemps, plus Google estime l’article utile.
  • Taux de rebond : si les visiteurs quittent rapidement la page, ça peut être un signal négatif.
  • Facilité de lecture : les moteurs de recherche favorisent les contenus bien structurés et accessibles.

Bref, vous l’aurez compris : un article bien rédigé capte l’attention et maintient l’engagement. Donc, il augmente ses chances de topper une super position dans les résultats de recherche.

Les règles d’or pour un contenu lisible et super engageant

Voici quelques règles d’écriture auxquelles je ne déroge ja-mais. Ce sont les mêmes pour tous les rédacteurs : 

  1. Écrire des phrases courtes et claires (15-20 mots max).
  2. Aérer le texte : des paragraphes courts (2-3 lignes max) rendent la lecture plus facile.
  3. Intégrer des listes à puces et des tableaux pour organiser les informations.
  4. Ajouter des visuels (images, infographies) pour illustrer les points clés.
  5. Privilégier un ton naturel et conversationnel pour un effet « lecture fluide ».

Optimiser le contenu avec le champ lexical

Pourquoi les moteurs de recherche privilégient un vocabulaire riche ?

Google ne se limite pas aux mots-clés exacts ! Il analyse aussi le champ lexical pour évaluer la pertinence d’un contenu. Donc, un texte qui utilise un vocabulaire varié risque d’être mieux compris par l’algorithme. Et, par conséquent, mieux classé.

Exemple de champ lexical enrichi :

❌ Mauvais : « Un bon article SEO a des mots-clés SEO pour Google. »
✅ Amélioré : « Un contenu optimisé pour le référencement naturel inclut des mots-clés stratégiques et un champ lexical riche. »

📌 Mon outil préféré : Thot SEO pour enrichir le champ lexical.

Comment éviter le bourrage de mots-clés ?

Spoiler alert (ça fonctionnait dans les années 2000, mais plus maintenant) : le bourrage de mots-clés est une trèèès mauvaise idée. Cette technique nuit à la lisibilité et peut pénaliser votre SEO. Ça sert donc à rien de produire un texte long comme votre bras, si c’est juste pour y mettre tous les mots-clés qui vous passeront par la tête. 

Google ne va pas aimer. Il va même pas aimer du tout. Car Google détecte le keyword stuffing et le considère comme une tentative de manipulation. Et en fin de compte, vous risquez de vous faire pénaliser. Dommage ! 

Mes bonnes pratiques pour un SEO nature-peinture :

  • Ne pas répéter un mot-clé plus de 2-3 fois par 100 mots.
  • Utiliser des synonymes et des expressions alternatives.
  • Rédiger naturellement sans forcer l’intégration des mots-clés.

Points clés à retenir :

✅ Un article lisible et bien structuré améliore l’expérience utilisateur et le SEO.
✅ L’optimisation du champ lexical est essentielle pour éviter le surdosage des mots-clés.
✅ Des outils comme Thot SEO aident à enrichir le contenu de manière efficace.

Techniques pour booster le référencement de votre article

Bon, on a mis les bases du SEO en place. Maintenant, certaines techniques permettent de renforcer l’impact de votre article sur Google. Je vous explique tout.

Le rôle du maillage interne et des liens externes 

Pourquoi le maillage interne est important en SEO ?

Le maillage interne est une technique géniale qui consiste à lier plusieurs pages d’un même site entre elles. Ça permet de :

  • Améliorer l’indexation par Google en facilitant l’exploration des pages.
  • Renforcer la structure du site en hiérarchisant les contenus.
  • Augmenter le temps passé sur le site en encourageant la navigation.

Mes bonnes pratiques du maillage interne :

✅ Placer des URL contextuelles dans le texte pour guider l’utilisateur vers d’autres contenus pertinents.
✅ Privilégier des ancres textuelles naturelles, en évitant la sur-optimisation avec des mots-clés répétés.
✅ Ne pas surcharger un article avec trop de liens internes.

Sélectionner des liens externes pertinents pour améliorer l’autorité

Les liens externes pointent vers des sites tiers et jouent un rôle phare dans le SEO. Google les interprète comme un gage de qualité et une preuve de crédibilité. Bref, intégrer des liens externes, c’est valider votre expertise sur un sujet !

Comment choisir de bons liens externes ?

  • Privilégier des sources fiables et reconnues (sites gouvernementaux, études, médias spécialisés).
  • Éviter les liens vers des sites de faible qualité ou avec un faible Trust Flow.
  • Utiliser l’attribut « nofollow » pour les liens sponsorisés ou non pertinents pour le référencement.

Intégrer du contenu multimédia pour enrichir l’article

L’impact des images, vidéos et infographies sur le SEO

Le contenu multimédia améliore l’engagement des visiteurs et renforce l’expérience utilisateur.
Google a un petit faible pour les pages qui proposent plein de formats différents, ainsi qu’un temps de lecture plus long.

Pourquoi intégrer des images et vidéos dans un article SEO ?

Augmenter le temps passé sur la page : une vidéo bien placée peut retenir l’utilisateur plus longtemps.
Faciliter la compréhension de l’article : une infographie permet d’expliquer des concepts complexes rapidement.
Optimiser pour la recherche d’images : un bon référencement des images permet d’apparaître sur Google Images.

Formats enrichis : FAQ, carrousels, podcasts

Vous pouvez aussi opter pour d’autres formats de contenu, qui permettent dans la SERP (= la page de résultats) :

  • Les FAQs (questions-réponses) augmentent les chances d’apparaître en premier dans les Rich Snippets.
  • Les carrousels d’images ou vidéos boostent l’interaction.
  • Les podcasts intégrés prolongent le temps d’écoute et fidélisent les visiteurs.

Points clés à retenir :

✅ Un maillage interne efficace améliore l’indexation et l’expérience utilisateur.
✅ Les liens externes de qualité permettent d’apporter de la crédibilité à un article.
✅ Les contenus multimédias à forte valeur ajoutée augmentent l’engagement et améliorent le SEO.

Mesurer la performance et optimiser son article après publication 

Vous croyiez vous en sortir comme ça ? Eh non, un (bon) article SEO ne s’arrête pas à sa publication ! Car, surveiller ses performances et l’optimiser en continu est indispensable pour maintenir son positionnement et générer du trafic sur le long terme. Je vous explique comment.

Suivre le positionnement et l’engagement

Écrire un article SEO : les KPIs essentiels à surveiller

Une fois l’article publié, un certain nombre d’indicateurs de performance (KPIs) permettent d’évaluer son efficacité en SEO :

  • Le classement sur Google : Suivre l’évolution du positionnement du mot-clé principal.
  • Le trafic organique : Analyser combien de visiteurs arrivent depuis Google.
  • Le taux de clics (CTR) : Vérifier si la title et la méta-description sont attractives.
  • Le taux de rebond : Un taux élevé peut indiquer un problème de lisibilité ou de pertinence.
  • Le temps passé sur la page : Plus il est élevé, plus le contenu est engageant.
Écrire un article optimisé grâce à la Google Search Console

Comment analyser l’engagement et l’intention de recherche ?

L’engagement des visiteurs sur un article SEO est un indicateur à suivre pour ajuster son contenu. Vous pouvez utiliser :

Google Analytics : analyse du comportement des utilisateurs sur l’article (temps moyen passé, taux de rebond).
Hotjar : cartes de chaleur pour voir comment les visiteurs « répondent » au site, où ils cliquent et où ils décrochent.
Google Search Console : analyse des requêtes qui amènent du trafic, ce qui permet d’ajuster le contenu de façon pertinente.

Mettre à jour et optimiser l’article pour garder son positionnement

Pourquoi rafraîchir un article régulièrement ?

Google privilégie les contenus actualisés et pertinents. Un article non mis à jour peut perdre en visibilité face à la concurrence.

Je vous liste les avantages d’une mise à jour régulière :

  • Répondre aux nouvelles tendances et mises à jour d’algorithme.
  • Ajouter du contenu multimédia (vidéos, infographies) pour améliorer l’engagement.
  • Mettre à jour les statistiques et liens externes pour éviter les sources obsolètes.
  • Intégrer de nouvelles sections ou FAQ selon les nouvelles requêtes détectées sur Google Search Console.

Quelques techniques d’optimisation post-publication

  1. Analyser les performances après 3 mois : Vérifier si l’article répond aux attentes en termes de trafic et d’engagement.
  2. Ajouter de nouveaux mots-clés secondaires détectés via Google Search Console.
  3. Optimiser les titres et sous-titres en intégrant des questions pour viser les Featured Snippets.
  4. Renforcer le maillage interne en liant de nouveaux articles pertinents.

📌 Mon outil préféré : Google Trends pour identifier les nouvelles tendances liées au sujet.

Points à retenir :

✅ Suivre les KPIs SEO (classement, trafic, engagement) pour ajuster la stratégie.
✅ Mettre à jour régulièrement le contenu pour éviter qu’il devienne obsolète.
✅ Utiliser les outils comme Google Search Console, Analytics et Trends pour optimiser la performance.

Peut-on automatiser la rédaction SEO avec l’IA ? 

Aloooors, vaste question. En soit, on peut demander de l’aide à l’IA pour rédiger. Il existe des outils (ChatGPT, Jasper AI et Copy.ai) qui permettent de générer rapidement des articles à peu près optimisés, en intégrant des mots-clés et une structure SEO cohérente. Cependant, énorme warning ! Ces outils présentent des avantages et des limites. Voici lesquels.

Avantages de l’IA en rédaction SEO

  • Gain de temps pour produire du contenu rapidement.
  • Optimisation automatique des mots-clés avec un bon champ lexical.
  • Création de variantes pour A/B testing.

Limites de l’IA

  • Manque d’originalité et de ton authentique.
  • Absence d’analyse fine de l’intention de recherche.
  • Risque de contenu dupliqué ou trop générique.

Donc, si vous vous en servez… Faites-le avec des pincettes. Et un minimum de maîtrise du sujet SEO. Autrement, vous risqueriez d’avoir de mauvaises surprises !

Google et la recherche conversationnelle (SGE) 

La SGE, késako ? C’est le Search Generative Experience (SGE). Soit un projet expérimental de Google qui pourrait modifier la manière dont les internautes accèdent aux informations via l’IA conversationnelle. Cette transformation pourrait modifier la manière dont les internautes accèdent aux informations.

Comment adapter son SEO au SGE ?

  1. Créer un contenu plus conversationnel et naturel, avec un ton engageant.
  2. Privilégier les formats FAQ et les réponses courtes, qui sont directement reprises par Google.
  3. Mettre à jour régulièrement les articles pour s’aligner aux requêtes en évolution.
  4. Renforcer l’autorité et la crédibilité : Google valorise les sources reconnues.

Points à retenir :

✅ L’IA est un excellent assistant, mais ne remplace pas un rédacteur SEO humain !
✅ Google évolue vers une recherche plus conversationnelle avec le SGE.
✅ Les articles optimisés pour le SGE doivent être plus interactifs et engageants.

Bref, vous aurez deviné ma conclusion : rédiger un article SEO performant implique une approche stratégique. Une approche méthodique. Recherche des mots-clés, optimisation du contenu, structure et suivi des performances… Je considère que chaque étape reste importante pour booster la visibilité et l’engagement de votre article !

Alors, pour résumer, n’oubliez pas de :
✅ Travailler votre structure avec un balisage clair et un bon maillage interne.
✅ Optimiser votre champ lexical et évitez le bourrage de mots-clés.
✅ Mettre à jour régulièrement vos articles pour rester pertinent.
✅ Vous adapter aux évolutions SEO et aux nouvelles tendances comme l’IA et le SGE.

Et si vous souhaitez booster votre visibilité sur Google et apprendre à rédiger des contenus qui performent…

👉 Rejoignez mon coaching SEO pour maîtriser toutes les stratégies qui feront décoller votre trafic !

Vous allez aussi aimer